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Évaluation:

Deux ans que je l'attendais... Et bien, ça valait la peine ! Nos rencontres précédentes avaient été intenses. Là, enfin, elle a réussi à décrocher un petit bout de visa. A peine était-elle sortie de l'ascenseur que je l'ai vu dans ses yeux... elle était réellement contente de me revoir. Moi... au septième ciel.Dès le rituel début oral que je réclame, elle me démontra qu'elle n'avait rien perdu de ses talents, et qu'elle se souvenait de toutes mes faiblesses. Quant à moi, je me souvenais de l'exceptionnelle sensibilité de ses seins. Je recommande, dans mon évaluation de 2021, d'y aller franco. Et c'est encore plus vrai aujourd'hui que jadis. Elle aime, elle adore qu'on la tète vigoureusement et qu'on la malaxe en même temps. Bientôt est apparue la chose impossible à simuler : la rougeur au bas du cou et sur les clavicules. Bon signal. Je me suis donc mis à ajouter, à la stimulation orale, la digitale. Que d'humidité ! Je pénètre rarement, mon format effraie (je ne suis pourtant pas Rocco). Mais parfois, il séduit. Clairement, Sasha l'apprécie, et me fit comprendre qu'il fallait que je m'exécute, ce qui fut, longuement et délicieusement, fait. Je suis par défaut et par principe sceptique quant aux émotions de nos amies. Mais je sais aussi qu'il arrive 1/ qu'il y ait de vraies nymphomanes dans le métier, heureusement 2/ que deux personnes se plaisent, nonobstant la relation commerciale. Mais je sais que de toute façon Sasha aime exciter le mâle. Et comme j'en suis un...